Central Park




TitreCentral Park
Auteur:  Guillaume Musso
Editeur: Pocket
Pages: 438
Parution: 26 mars 2015
Genre: Suspense

Résumé

Alice et Gabriel n’ont aucun souvenir de la nuit dernière…
… pourtant, ils ne sont pas près de l’oublier.
New York, 8 heures du matin.
Alice, jeune flic parisienne, et Gabriel, pianiste de jazz américain, se réveillent menottés l’un à l’autre sur un banc de Central Park.
Ils ne se connaissent pas et n’ont aucun souvenir de leur rencontre. La veille au soir, Alice faisait la fête avec ses copines sur les Champs-Élysées tandis que Gabriel jouait du piano dans un club de Dublin.
Impossible ? Et pourtant…


Ce que Geneviève en pense...

Sachez d'emblée que mes collègues de travail ne sont pas d'accord avec ce qui suit.

J'ai décidé de lire Central Park à la suite des recommandations d'une collègue qui m'a dit qu'il s'agissait de l'un des meilleurs livres qu'elle ait lus. Elle était alors incapable de se souvenir du nom de l'auteur, mais l'introduction qu'elle en a faite (un homme et une femme inconnus et menottes à Central Park alors qu'ils se trouvaient à l'autre bout du monde la veille) m'a fait deviner qu'il s'agissait de Guillaume Musso.

Car là est le problème de ce livre à mon avis : on reconnait le style de Musso comme on voit un nez au milieu d'un visage. Le premier livre que j'ai lu de lui est Parce que je t'aime (2007). La poignante histoire d'un couple déchiré par la disparition de leur fille. De ce livre, à l'époque, j'ai tout aimé. Les personnages détruits par leur chagrin, l'intrigue qui en découle et le grand débat éthique (jusqu'où peut-on aller par amour pour quelqu'un).

Mais voilà! D'un livre à l'autre, c'est toujours la même chose. Alors que l'intrigue est pleine de rebondissements qui devraient nous surprendre, il suffit d'avoir déjà lu un ou deux autres livres de Musso pour les voir venir à dix kilomètres à la ronde.



Je vous dirais donc ceci : si vous n'avez rien lu de cet auteur, foncez. Vous risquez de beaucoup aimer. Par contre, si vous le connaissez déjà, passez (à moins que vous soyez moins blasé que moi).

Commentaires